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Artybe, la plateforme togolaise qui connecte passionnés de sport, de divertissement et de culture !

Dans un monde où la technologie s’entremêle de plus en plus avec nos loisirs et nos passions, une nouvelle initiative togolaise vient de voir le jour. Artybe, fondée par deux entrepreneurs visionnaires, Yawovi David Senyo et Laura Nouhova Kpegli, est en train de redéfinir l’accès aux activités culturelles et sportives au Togo.

Connecter les gens à leurs passions

Artybe n’est pas juste une plateforme ; c’est un carrefour où des univers jusqu’alors parallèles se rencontrent enfin. Sportifs, artistes, jeunes, seniors, locaux et diasporas se découvrent et partagent des expériences enrichissantes. Laura Nouhova Kpegli souligne l’importance de cette rencontre : un espace où le budget loisirs des uns soutient le talent et le savoir-faire des autres. En attendant le lancement de l’application sur Android et iOS en mars 2024, les utilisateurs peuvent dès maintenant réserver des séances via le site web d’Artybe, en créant simplement un profil.

Un avenir prometteur

Le succès initial d’Artybe témoigne d’un besoin profondément ressenti par la population togolaise. L’adoption rapide de la plateforme illustre la demande pour une solution qui facilite la connexion entre les passionnés de sport et de culture et les professionnels du domaine. Avec des ambitions de croissance à travers l’Afrique de l’Ouest francophone et au-delà, Artybe se prépare à une levée de fonds cruciale pour son expansion. Son parcours impressionnant, distingué par des sélections et récompenses au sein d’incubateurs et de sommets dédiés à l’innovation, annonce un avenir prometteur.

Artybe incarne l’innovation au service de la communauté, un modèle d’entreprise qui utilise la technologie non seulement pour connecter les gens à leurs passions mais aussi pour soutenir économiquement les talents locaux. Dans l’esprit d’une Afrique toujours plus connectée et diversifiée, Artybe pave la voie à un futur où les barrières entre les différentes sphères de loisirs et de culture s’estompent progressivement.

Source : www.wearetech.africa